La cité des Aurores
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

Partagez | 
 

 C'est la mort, qui t'attend.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Tyler O. Mayne

Tyler O. Mayne

♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣
Sociopathe antipathique, cruel et perturbé.


Situs inversus viscerum.
Race : Vampire
Clan : Le pouvoir
Âge du personnage : 34
Quartier habité : Alavan district
Emploi : Tueur à gage
Messages : 436
Puissance : 115


Fiche d'identité
Race: Vampire
Boîte à paroles:
Caractéristiques de transformation:
C'est la mort, qui t'attend.  Vide
MessageSujet: C'est la mort, qui t'attend.    C'est la mort, qui t'attend.  Icon_minitimeSam 11 Déc - 18:04

Les jours se suivent mais ne se ressemblent pas. Me voilà encore au cimetière à errer entre les tombes. Mais cette fois, je ne suis pas seul. Je m’accroupissais près de cette créature bâillonnée, je vérifiais que ses liens étaient solides puis je me redressais pour attendre. Il y avait presque dix minutes que je répétais ce refrain en attendant patiemment la cible de mon piège. Heureusement j’étais confiant, et je savais qu’il viendrait. Ma détermination s’était de nouveau réveillée après une longue soirée d’automne. J’avais déjà pour mission d’effrayer sérieusement les fils aînés des Lowan. C’est Alice qui voulait absolument leur faire peur sans les éliminer, car il semblerait que son caractère possède plus de nuances sadiques que celui de sa mère. En bref, j’avais carte blanche et la seule chose que je ne pouvais pas leur prendre, c’était la vie. Cependant, malgré tous mes talents, je ne me sentais pas capable de les affronter en même temps sans en retirer quelques sévices. Ces jeunes personnes sont extrêmement complices et toujours ensemble. J’avais remis cette mission à plus tard, me focalisant sur la mort de leur père, commandée par Amanda et qui devenait plus urgente à nos yeux. Mais un soir, j’ai surpris les trois frère Lowan s’en prendre violemment à l’un des nôtres. William Nothern n’était peut-être pas un vampire, mais il était considéré comme notre frère. Les loups-garous allaient payer. Par la suite, je gardais un œil sur les agissements de cet humain, espérant qu’il ne commette pas de nouvelle imprudence durant la nuit. Puis je me renseignai comme je pus sur mes deux nouvelles cibles. L’un était plus fougueux, plus téméraire, et l’autre plus réfléchi. Je pouvais aisément reconnaître maintenant le plus impulsif puisqu’il se serait probablement battu avec moi cette nuit là si ses frangins ne l’en avaient pas empêchés. Je décidai d’ailleurs de m’en prendre plus particulièrement à lui, le sachant plus enclin à s’aventurer au danger seul que son jumeau. Pour cela, je dus tout de même attendre que Michael Lowan soit à l’autre bout de la ville, occupé avec son petit frère. J’avais sous la main un lycan qu’ils connaissaient tous deux. Je savais qu’il n’était pas chez les rebelles pour autant, mais c’était un loup garou, et cette seule particularité méritait la mort. Il vivait dans l’est, et je m’étais fait passer pour un notaire qui avait retrouvé un membre de sa famille lorsque je suis parti le chercher. C’était plus discret qu’il m’accompagne de son plein gré. Une fois dans le cimetière, je lui ai coupé les nerfs derrière les genoux avant qu’il n’ait l’occasion de se transformer. Je lui ai ensuite attaché les mains et l’ait forcé à appeler Aaron pour le faire venir. Je craignais que si j’allais directement jusqu’au Lowan, je ne puisse pas l’emmener dans un lieu moins public ou pire, quelqu’un de son entourage vienne à son secours. Ici, je savais qu’il n’y avait aucun risque. Ma victime s’est montrée extrêmement docile, a exécuté sa mission et j’ai de nouveau muté. Le sang des lycans était particulièrement délicieux mais je me retenais de boire le sien. Je savais que celui du Lowan était bien meilleur, bien plus pur… Son sang sera exceptionnel. Et je ne voulais pas gâcher mon appétit dans ce souillon. Alors j’enfonçais lentement mes griffes dans l’estomac de cet homme hurlant, en le forçant de mon autre main à me regarder dans les yeux. Après l’avoir bien observé, je lui crevais un à un ses deux globes. Il se tordit dans tous les sens et je me relevais, le laissant se vider sous des gémissements qui me plaisaient plus qu’ils ne me faisaient frissonner. Je gardais mon apparence vampirique et me dirigeait à pas de loup derrière un immense obélisque. Les cris de cet animal allaient attirer l’autre bête, et je voulais me tenir prêt. Mes oreilles frétillaient au moindre bruit, et je me concentrais sur mon ouïe pour entendre venir la peste elle-même. Il ne tarda pas à se montrer, et je restai bien évidemment caché.

Aaron s’était déjà jeté sur son « ami » ? Il ne pouvait plus rien pour lui de toute manière, je l’avais transpercé de part en part et ce n’était qu’une question de minute pour que la mort vienne achever ses souffrances. C’est d’ailleurs ce qu’il dit en quelques mots au jeune Lowan, tout en lui criant de partir car je l’attendais. Avant de laisser cet Aaron réagir, et étant bien sûr de moi, je jetais un regard en arrière pour l’observer. Oui, c’était bien lui, c’était cet idiot qui m’avait défié ce soir là, et qui avait blessé William. C’est lui qui allait payer le premier. Il ressemblait à son père, quoique ce dernier ne serait jamais tombé dans un piège aussi banal. Peut-être que si je capturais son fils, Alan viendra de lui-même se jeter dans notre gueule. Mais ce n’était pas la mission. Amanda voulait le tuer sans alerter l’autorité humaine et une capture, c’était trop peu discret. Rapidement, je m’abaissais puis j’attendis qu’Aaron me tourne le dos, me cherchant probablement du regard, pour me sortir de cette planque de fortune. Sans lui adresser la moindre parole, car je ne voyais pas l’intérêt de parler avec une de ces créatures puantes et primitives, j’écartais les mains et je me jetais sur cette monstruosité de la nature pour lui faire regretter son arrogance ainsi que son existence. S’il ne réagissait pas assez vite, je commencerai par lui lacérer le dos. Et puis je voulais goûter au sang des Lowan que l’on prétendait si fabuleux, chez les vampires, alors que jamais personne n’y a goûté. On disait ça simplement parce qu’ils étaient une famille extrêmement pure et que leur puissance était digne de mener les rebelles dans cette guerre. Personnellement je m’en fichais, car tant que j’en aurais l’ordre, je chercherai à les tuer. Aaron ne devait pas mourir, pas maintenant, mais je ne le laisserais pas partir avant de lui avoir clairement fait comprendre quel genre d’adversaire j’étais. Ce n’était pas par fierté ou par vantardise, mais je voulais qu’il prenne bien plus au sérieux la menace que les vampires étaient sur sa famille et sur lui-même. Qu’il sache qu’il ne sera jamais intouchable, surtout face à moi. Et que quelqu’un le remette à sa place une bonne fois pour toute.
Revenir en haut Aller en bas
Aaron L. Lowan

Aaron L. Lowan

♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣
L'hyperactif chef de Meute


Attention les yeux !
Race : Lycan
Clan : Les rebelles
Âge du personnage : 25
Quartier habité : Easthan district
Emploi : Chef des lycans ; Étudiant
Messages : 1580
Puissance : 578


Fiche d'identité
Race: Lycan
Boîte à paroles:
Caractéristiques de transformation:
C'est la mort, qui t'attend.  Vide
MessageSujet: Re: C'est la mort, qui t'attend.    C'est la mort, qui t'attend.  Icon_minitimeDim 12 Déc - 0:01

    « Hein ? Quoi ? …. Répète… T’es où ? … Qu’est-ce que tu fous là ? … Quoi ? J’arrive ! … Allo ? Allo ?! Et merde ! »

    D’un geste rageur, il raccrocha son téléphone cellulaire et rangea ses affaires. Ses papiers dans son sac, le manteau sur le dos, il sortit du cours sans que le professeur ne fasse attention à lui. Il poussa les portes de l’amphithéâtre rapidement et prit la sortie de sa faculté en quelques enjambées soucieuses. L’homme venait de recevoir l’appel d’un de ses amis qu’il avait rencontré il y a quelques mois dans la forêt, alors qu’il venait de nourrir et qu’il avait partagé sa nourriture avec. C’était le lieu propice pour rencontrer des loups garous puisque c’était l’endroit idéal où se trouvaient leurs gibiers. Il avait bien senti le ton nerveux de cet homme au bout du fil, et lui annoncer de but en blanc qu’il allait mourir si le lycan ne venait pas le chercher immédiatement au cimetière du quartier nord… C’était lui annoncer clairement le piège qui l’attendait. Mais Aaron ne pouvait pas ne pas y aller. Il ne pouvait pas le laisser en danger sans rien faire. C’était un collègue, un homme comme lui, et il ne pouvait pas donner raison à un vampire. Parce qu’il se doutait bien qu’un ou plusieurs vampires étaient derrière tout ça. Il hésita à avertir sa famille mais n’en fit rien. L’homme lui avait dit de venir seul, auquel cas il serait mort, et l’étudiant ne voulait pas jouer avec sa vie.

    L’hyper actif n’avait pas la voiture aujourd’hui, car son frère était à l’est avec Axel en train de faire des achats de noël. (Il prenait les cadeaux pour deux puisqu’il connaissait très bien les goûts et les intentions d’Aaron, et qu’ils avaient un compte commun. Les jumeaux avaient toujours offert des cadeaux ensemble et les seuls présents qu’ils offraient séparément étaient ceux qu’ils se destinaient à eux-même.) Aaron frauda donc les transports communs de la ville et se dépêcha d’arriver jusqu’au quartier nord. Une fois là bas, il prit une grande inspiration et rasa le mur des bâtiments en regardant droit devant lui et en ignorants tous les passants autour. Il était détesté ici, et c’était un territoire ennemi… Il savait qu’il allait s’attirer de gros ennuis. Heureusement il était débrouillard et savait bien se défendre contre ses ennemis. Il pensait pouvoir s’en sortir s’il se faisait agresser par un vampire. Par deux c’était moins sûr, par trois il aura beaucoup de mal… Mais maintenant qu’il était venu ici, il ne pouvait plus faire marche arrière.

    Il repéra rapidement les obélisques du cimetière et poussa prudemment le portail de fer de l’entrée. Tous les sens de l’homme étaient en alerte et il déglutit. Il venait de foncer tête baissée dans un piège, il en était persuadé. Il ressentait un immense besoin d’appeler son jumeau et de lui demander quoi faire. Il avait besoin de Michael, il devait absolument lui parler. Car des deux, c’était son frère le cerveau, celui qui trouvait des solutions aux problèmes. Aaron fit quelques pas en avant, tournant et retournant la tête au moindre bruit comme un oiseau anxieux. Il avait l’impression de ne plus être un prédateur mais de passer pour une proie, et il détestait ça. Il n’y avait pas de neige, il pouvait donc marcher sans bruit, mais une brise glaciale jouait à le faire frissonner. Il avait toujours l’impression qu’il faisait plus froid dans le nord, alors l’homme resserra son écharpe et ses gants.

    Au bout d’un moment, l’étudiant entendit des gémissements. Ses pas se tournèrent immédiatement dans la direction du bruit et il marcha d’une allure rapide. Il aperçut la silhouette blessée sur le sol et se précipita dessus. Du sang coulait de son abdomen, de ses bras, et de ses yeux. Ce spectacle écœura le jeune homme. Aaron s’accroupit devant son ami et passa sa main derrière la nuque de l’homme pour le soutenir et le rassurer. Il commençait à vouloir le soulever mais la main de l’individu se posa brusquement sur son bras pour l’en empêcher.
    « Va-t-en ! C’est toi qu’il vise, pars tout de suite il est encore là ! »
    Le loup-garou le lâcha et se releva aussitôt pour observer autour de lui. S’il celui qui lui avait fait ça était encore là, alors il allait entendre parler de la fureur des Lowan ! L’étudiant n’avait pas l’intention de partir et encore moins d’abandonner cette victime. Il voyait bien qu’il agonisait et vu tout le sang qu’il avait perdu, les chances qu’il s’en sorte semblaient moindres. Raison de plus pour l’emmener immédiatement à l’hôpital ! En regardant autour de lui, il remarqua au dernier moment la silhouette menaçant qui s’était dressée face à lui. Pour ne pas l’avoir senti venir, ce devait être un vampire, et rapide qui plus est. Les réflexes d’Aaron sauvèrent ce dernier d’une probable et longue agonie et il se poussa en avant. Cependant il sentit les griffes acérées de cet ennemi toucher le haut de son dos, ne pouvant pas l’éviter complètement, ainsi qu’une partie de son épaule. Du sang gicla, Aaron grogna mais il bondit sur une tombe pour se retourner et faire face au vampire. Il déglutit de nouveau en le reconnaissant. C’était ce même gars qui était venu au secours de William ce soir là. Celui qui avait attenté à la vie de son père, et qui était capable de tenir tête à Eve ! Quelqu’un capable de lutter avec elle, c’était quelqu’un de bien plus fort que le petit Lowan…

    Le loup-garou savait que Tyler allait surenchérir et ne pas le laisser se reposer de cette attaque. Il leva son bras intact et posa la main sur sa blessure en grimaçant. Que pouvait-il bien faire ? Il avait l’impression de ne plus avoir le choix. Il voulu demander à l’autre loup-garou de tenir bon mais lorsqu’il tourna son regard vers lui, il ne vit qu’un corps inerte… Aaron grogna méchamment. Les poils s’hérissèrent sur son dos alors qu’il était toujours en équilibre sur une tombe, et il poussa quelques crachats rageurs pour essayer de tenir le vampire à distance. C’était maintenant officiel, il le détestait. Le museau de l’étudiant s’allongea, des griffes et des crocs firent leur apparition et il prit également quelques centimètres de tous les cotés. Ses habits se déchirèrent et comme à chaque fois, c’était son caleçon élastique qui tenait bien le coup. Quoique cette fois il eut la présence d’esprit de jeter son manteau pour pas le déchirer.

    « Salaud ! » rugit-il d’une voix rauque avant de sauter de la tombe et de foncer littéralement sur son ennemi un peu trop calme à son goût. Il voulait lui arracher la tête mais il sentait qu’il donnait des coups dans le vide. Tyler était vraiment trop rapide et Aaron tenta de lui asséner un gros coup mais se sentit partir en avant à cause de son élan, au point de tourner le dos un court instant à ce maudit vampire. Il faut dire qu’il ne balançait que son bras intact, l’autre ayant plus de mal à bouger.
Revenir en haut Aller en bas
https://rheyjall.forumsrpg.com
Tyler O. Mayne

Tyler O. Mayne

♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣
Sociopathe antipathique, cruel et perturbé.


Situs inversus viscerum.
Race : Vampire
Clan : Le pouvoir
Âge du personnage : 34
Quartier habité : Alavan district
Emploi : Tueur à gage
Messages : 436
Puissance : 115


Fiche d'identité
Race: Vampire
Boîte à paroles:
Caractéristiques de transformation:
C'est la mort, qui t'attend.  Vide
MessageSujet: Re: C'est la mort, qui t'attend.    C'est la mort, qui t'attend.  Icon_minitimeDim 12 Déc - 2:05

Il était là, devant moi. Il avait foncé tête baissée dans cette trappe pourtant si peu élaborée. Je n’avais qu’à m’avancer et déclencher la bataille entre nous, et c’est ce que je fis. Sous la forme la plus hideuse mais la plus sûre, j’avais réussi à lui entailler l’épaule mais je ne relâchai pas mon attention une seule seconde de ce monstre. J’avais du sang sur la glace de mes griffes, et l’odeur qui s’engouffra dans mes narines eut l’effet d’un parfum chaud et enivrant qui me perturba un court instant et qui fit frémir mon dos. Je sentais mon organisme se réveiller à cette odeur. Ma peau avait la chair de poule et la langue ne cessait de claquer sous mon palais. Je ressentais des fournis au niveau de mes gencives, me donnant l’impression que mes canines mourraient d’envie de pénétrer la chair de cette créature. Je me sentais irrémédiablement attiré par cet individu et plus particulièrement par son sang qui ensorcelait mes sens. Je ne m’étais pas nourri depuis deux jours et j’avais renié le corps de cette proie afin de garder mes réserves. Autrement dit j’avais terriblement faim, et il me semble d’avoir jamais senti un parfum aussi tentateur que celui de ce loup-garou. Le moment d’attente que je lui laissai était du à mon contrôle sur moi-même. Je ne devais pas céder à mes pulsions avant de l’avoir maîtrisé, je savais que c’était une grande erreur et je tentai donc par tous les moyens de calmer mes ardeurs. Ses insultes n’avaient aucun effet sur moi, et je ne pris pas la peine d’y répondre. Je ne sous-estimais pas ma force, mais je le voyais à la fois mentalement et socialement inférieur à ma race. Inférieur à la race humaine également. Et ce n’était certainement pas mon genre de répondre aux insultes gratuitement. Tandis qu’il mutait en cette forme ignoble, je ne pu me retenir plus longtemps. Je levais la main et je passais l’une de mes griffes sur mes lèvres afin d’y déposer une goute de son sang. La saveur dépassait de loin mes espérances, elle était digne de rendre un vampire accroc. J’avais pourtant goûté à de nombreux loup-garous mais celui là était de loin le meilleur festin. Je n’en avais perçu qu’une nuance, je n’avais pu en découvrir toutes les saveurs mais je savais que j’allais me régaler. Mon corps frissonna de plaisir à l’idée de planter mes crocs dans son épiderme et d’en boire sa source d’énergie. Je savais qu’après cela, je serais plus en forme que jamais. Après ce cours instant de dégustation, où mon excitation me fit clairement comprendre que j’en désirais davantage, l’animal sauta de sa perche pour me foncer maladroitement dessus. Il était lent, brutal et aussi idiot que tous ceux de sa race. Je n’eus aucun mal à l’éviter. De plus, nous étions sur mon territoire et je connaissais l’emplacement de ces tombes comme si je les avais moi-même construites. Je bondis sur une pierre tombale puis j’en redescendais afin d’esquiver rapidement les coups de cette créature. Le soleil nous était néfaste à tous les deux. La bataille aurait probablement été plus en sa faveur si la lune était là. Je ne l’attaquais pas, je me contentais d’éviter chacune de ses pattes en sachant pertinemment qu’il pouvait me mettre par terre en un seul coup. S’il était lent, je ne doutais en revanche pas de sa force brutale et phénoménale. Il pourrait m’assommer s’il me touchait une seule fois à la tête, et j’en étais conscient. C’est pourquoi je misais tout sur l’esquive et je me rendis compte que mes capacités agiles étaient bien supérieures aux siennes. Je le vis prendre de l’élan à un moment et tenter de m’asséner un cou qui m’aurait surement arraché la tête si je ne l’avais pas reculé à temps. L’occasion de le frapper se présenta alors durant la demi-seconde où il me tourna le dos, et je saisi aussitôt ma chance en lui sautant dans le dos et en me collant à lui comme une sangsue. La douceur de ses poils m’irrita, me faisant penser qu’il avait le culot de prendre soin même de son apparence la plus affreuse. J’enfonçais profondément mes griffes dans ses côtes et je m’y accrochais afin de toujours rester derrière lui, dans son angle mort. Je baissai la tête à chaque fois que l’une de ses dangereuses pattes me passait au dessus et je poussai le plus fort possible en avant pour le faire basculer. Je le plaquai ventre contre sol et, bien que mon poids ne devait pas influer sur ma maîtrise à le maintenir au sol, j’optais pour retirer mes griffes de ses cotes pour les enfoncer dans ses bras. Ainsi, je pouvais les immobiliser. Mon corps gelé devait se faire sentir sur lui, déjà que la température environnante devait influer sur sa forme. Je le savais extrêmement sensible au froid et il préférerait probablement rester plaqué au sol plutôt que d’essayer de se soulever et de prendre le risque de me toucher. Je retirai de nouveau mes griffes de ses bras, laissant de nouveaux trous saignants. Je sentais l’excitation me gagner de plus en plus et j’avais du mal à me retenir. Je replantais mes pics de glace dans son épaule cette fois, et après m’être bien assuré qu’il ne pouvait plus se relever, je me penchais lentement au dessus de sa tête pour lui susurrer dans l’oreille.

« Soit maudit, toi et ta famille. Vous y passerez tous, votre sang est notre propriété. »

Et pour prouver ces paroles, j’entrouvris la bouche pour laisser apparaître mes canines et ma tête fondit entre son épaule et son cou. Je ne pu m’empêcher de pousser un feulement de chat avant de déchirer sa chair à l’endroit où il n’avait pas de poils. Du sang coula dans ma bouche et des bruits de sucions retentirent sur mes lèvres lorsque je me mis à aspirer son énergie vitale.
Revenir en haut Aller en bas
Aaron L. Lowan

Aaron L. Lowan

♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣
L'hyperactif chef de Meute


Attention les yeux !
Race : Lycan
Clan : Les rebelles
Âge du personnage : 25
Quartier habité : Easthan district
Emploi : Chef des lycans ; Étudiant
Messages : 1580
Puissance : 578


Fiche d'identité
Race: Lycan
Boîte à paroles:
Caractéristiques de transformation:
C'est la mort, qui t'attend.  Vide
MessageSujet: Re: C'est la mort, qui t'attend.    C'est la mort, qui t'attend.  Icon_minitimeMar 14 Déc - 12:29

    Il le voyait se délecter de mon sang chaud et apparemment si délicieux au vu de la tête qu’il venait de tirer. Aaron posa aussitôt la main sur son épaule. Il avait envie de crier « Ne touche pas à mon sang ! C’est propriété privée ! » mais se retint de le faire en sachant très bien que ça ne changerait absolument pas les intentions du vampire. Il était si savoureux que cela ? Il était pur, sa famille l’était de nombreuses années et nul doute que si les enfants avaient meilleur goût que le papa, ce dernier restait un met de qualité pour qui voulait y goûter. Sauf que personne ne le pouvait, heureusement, et Aaron aurait vraiment aimé que ce soit le cas pour son corps, et surtout pas par celui qui se voulait être l’assassin de son père ! Le lycan regrettait amèrement de ne pas avoir appelé quelqu’un avant de venir. Ne serait-ce qu’Elliott, son meilleur ami… Ce dernier allait le tuer si Aaron survivait. Le lycan grimaça, puis il muta. Finit de jouer, se disait-il, il allait vendre chèrement sa peau et se voyait déjà en train déchiqueter cette peau molle et glacée qu’il avait en face de lui.

    Le loup-garou poussa une sorte de petit rugissement sans effet avant de bondir de la tombe où il se trouvait pour sauter sur son ennemi. Plusieurs fois il tenta de lui asséner coups de griffes et de crocs, mais le vampire était vraiment trop rapide. Il n’en revenait pas de ne pas réussir à le toucher, ou du moins presque pas. Parce qu’au bout d’un moment, il sentit quand même l’une de ses griffes entailler quelque chose de froid, et ça ne pouvait être que Tyler. Cependant il n’eut pas l’occasion de voir ce qu’il avait fait, car il ne pouvait pas se permettre de relâcher son attention une seule seconde. Aaron finit par prendre un peu d’élan en pliant ses genoux, puis il tenta le tout pour le tout en exécutant avec les deux bras une attaque qui, si elle était réussie, pourrait arracher la tête de son ennemi. Il rata, et il paya cher de cette initiative.

    Il hurla de manière bestiale et comme un loup lorsqu’il sentit les pics glacés de son ennemi le traverser au niveau des côtes. Il eut du mal à rester debout sur le coup, mais lorsque Tyler le poussa brusquement en avant, Aaron n’eut d’autre choix que de chuter à plat ventre sur le sol. Il voulu se retourner afin de se défendre comme il le pouvait, mais son adversaire planta ses armes dans ses bras, faisant deux gros trous saignants et profonds à l’intérieur. Aaron cria de nouveau en jetant des coups de crocs dans tous les sens comme un chien enragé. Il voulu gigoter comme un asticot mais lorsqu’il souleva son bassin malgré la douleur fulgurante aux cotes, il sentit aussitôt le corps glacé du vampire au dessus de lui et un très long frisson mortel le parcouru de part en part. Il détestait le froid. En sentant le suceur de sang s’allonger dessus, il voulu essayer de remuer davantage les bras pour le blesser, mais de nouveau quelque chose entaillait et pénétrait ses épaules, faisant gicler son sang bouillant et l’obligeant à hurler de douleur.

    Enragé et luttant désespérément contre la mort, il continua cependant de remuer les fesses et les jmbes pour déséquilibrer Tyler au dessus de lui. Lorsqu’il sentit son souffle glacial s’approcher, une peur immense le prit d’assaut et il bougea de plus en plus en grognant et en mugissant. Non, il n’était pas un repas, et il ne voulait pas perdre son sang… S’il y avait bien une manière dont il ne voulait pas mourir, c’était celle-ci. Le vampire s’accrochait vraiment bien et l’étudiant n’arrivait pas à se redresser, encore moins à se remettre debout. Il entendit malgré lui les menaces de son bourreau.

    « Pauvre con, va donc sucer les tiens, tu n’es bon qu’à ça ! » répliqua-t-il avec ardeur, hésitant entre le provoquer davantage ou le supplier de l’épargner. Cependant il ne put ajouter rien d’autre car un déchirement le fit longuement grogner. Les canines gelées du vampire qui déchiraient sa chair et traversaient sa peau donnèrent la chair de poule au Lowan. Ce dernier continua de se débattre, malgré les griffes plantées dans ses épaules il réussissait à lui donner des coups de coudes tout en continuant de se plaindre sous la douleur que cela lui provoquait. Il sentait son énergie vitale le quitter au fur et à mesure qu’il remuait, et les bruits de suçon que provoquait Tyler lui étaient insupportablement écoeurant. Ses forces finirent par s’évanouir, et il bougea de moins en moins. Son corps commença à s’aplatir davantage contre l’herbe humide, et il reprit sans le vouloir sa forme totalement humaine. Ainsi, il ne pouvait absolument plus rien contre ce vampire. Les grognements d’Aaron s’étaient transformés en gémissements continus. Il tentait de les réfrénait mais la douleur étant trop grandes, il ne cessait de pousser des plaintes affreuses et presque en sanglot. Sa main serre durement une pierre accrochée au sol. L’étudiant avait le souffle de plus en plus lent. Ses membres étaient engourdis par le froid, ses lèvres devenues bleues, et il avait l’impression que le monde lui tournait autour. Des vertiges et des nausées le prirent d’assaut en même temps, l’empêchant de gémir plus longtemps. Au bout d’un moment, il posa son front à même le sol puis cessa totalement de bougé, totalement épuisé, malade et fiévreux. Il garda les paupières ouvertes et resta là, à demi-conscient, attendant que Tyler le termine.
Revenir en haut Aller en bas
https://rheyjall.forumsrpg.com
Tyler O. Mayne

Tyler O. Mayne

♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣
Sociopathe antipathique, cruel et perturbé.


Situs inversus viscerum.
Race : Vampire
Clan : Le pouvoir
Âge du personnage : 34
Quartier habité : Alavan district
Emploi : Tueur à gage
Messages : 436
Puissance : 115


Fiche d'identité
Race: Vampire
Boîte à paroles:
Caractéristiques de transformation:
C'est la mort, qui t'attend.  Vide
MessageSujet: Re: C'est la mort, qui t'attend.    C'est la mort, qui t'attend.  Icon_minitimeMar 14 Déc - 15:43

Il se débattait farouchement, l’animal, et je tentais tant bien que mal de le maintenir au sol. Mais ses muscles avaient gonflé et ma seule chance de l’empêcher de les utiliser était de le blesser aux points d’ancrages. Les épaules, les avant bras et les côtes pour qu’il ne soulève pas son bassin et moi avec. Cependant il continuait de se débattre et je reconnaissais là toute la monstrueuse fougue d’un pur loup-garou. Un Lowan, qui plus est. Mais seul, il ne valait rien face à moi. Peut-être devrais-je craindre davantage si son frère se pointait. Je savais qu’Aaron était plus agressif que Michael mais il était aussi beaucoup moins technique. Ensemble, ils auraient leurs chances de me vaincre car toute ma puissance n’égalait pas leur complicité… Je chassais ces pensées dénigrantes de mon esprit, me disant que j’avais accompli une partie de ma tâche. Mes oreilles pointues frétillaient nerveusement et je me languissais en écoutant les battements de son cœur qui s’accéléraient de plus en plus. C’était comme une mélodie qui défilait dans ma tête, ayant pour seule voix les hurlements de mon doux ami. Je ressentais cette étrange intimité comme j’avais l’impression d’avoir avec chacune de mes proies. Ma cuisse saignait nerveusement et je l’appuyais le plus fort possible contre le corps de mon ennemi afin d’empêcher les saignements. Il m’avait touché alors que j’essayais de le faire chuter au sol. Maintenant encore, il m’arrivait de recevoir des coups de coudes ou de bras qui me faisaient tanguer à cause de la force monstrueuse de cette créature. Mais il ne pouvait pas me chasser, ma peau entière collait à son corps grâce à la capacité d’adhésion d’une araignée. Et je me servais de cette proximité nulle pour refroidir mon torse, ouvrir ma chemise et le refroidir sérieusement. Mes côtes m’étaient également douloureuses à cause des coups répétés qu’elles recevaient. Mais ce n’était rien à coté de ce que je lui faisais subir. Lui murmurant quelques menaces, j’ignorai sa réplique et je me fondais en lui grâce au petit passage que je venais de créer sur sa nuque. Il criait, il se débattait, son cœur le martelait difficilement et en le buvant, je ressentais presque la douleur et la panique qui faisait rage en lui. Une sensation d’adrénaline s’empara alors de moi et je ne pu m’empêcher de soupirer de plaisir en sentant le supplicié en dessous de moi. Mes griffes toujours dans ses épaules tournèrent lentement sur elles-mêmes, s’enfonçant un peu plus dans ses muscles comme des vis que l’on tourne et retourne. Au fur et à mesure que je me délectais de ce sang enflammé, mon corps devenait de plus en plus froid et je ressentis un frémissement d’excitation sur sa chair de poule. Le liquide chaud coulait au fond de ma gorge, sur mon menton. Une saveur à la fois sauvage, chaude et délicieuse pénétrait mon palais. Je sentais une énergie indescriptible et incroyable s’emparer de mes membres au fur et à mesure que son sang traversait mon œsophage. Je n’arrivais plus à m’arrêter, alors que j’étais capable de me stopper à n’importe quel moment sur un autre. Je me sentais comme envoûté par la saveur exquise de son sang, et transporté sur un petit nuage. Il finit par redevenir humain sous moi, mais je ne desserrais pas pour autant ma prise. En revanche, mes griffes disparurent et je lâchais ses épaules pour passer ma main sous le cou de ma proie. Avec mon bras je lui relevais de force la tête, l’étranglant un peu, et m’offrant un meilleur confort sur sa gorge. Mon autre main se plaqua sur son dos, et je la faisais devenir le plus froide possible afin de lui rendre cet épisode le plus désagréable possible. Tous ses gémissements m’encourageaient à avaler de plus grosses gorgées de lui-même, et j’avais comme la sensation de ne plus pouvoir me passer de son sang. Je restais durant de longues minutes à me délecter de ce goût si particulier. Il était à la fois sucré et la panique qui l’animait donnait un peu d’acidité au festin qui me ravissait. Je n’avais jamais goûté un sang plus nourrissant que celui là. À la fois épais et neuf, j’avais l’impression de détecter en lui mille saveurs dont je ne pouvais en reconnaître que le quart. Il n’avait rien à voir avec les autres humains ou même lycans. Je rêvais de planter mes crocs dans chacun de cette famille, afin d’en comparer les saveurs. J’en serais même comblé… Lorsqu’Aaron posa son front sur le sol, je forçais un peu la pression sur sa gorge pour lui relever la tête, l’étranglant davantage s’il ne la levait pas de lui-même. Il perdait toutes ses forces sous moi, alors que je ne cessais de frémir de plaisir et je comprenais que même après l’avoir allègrement bu, je raffolais toujours autant de son sang. Cependant je ne pouvais pas le tuer, car ce n’était pas l’ordre d’Alice. Au vu de son inactivité, je le voyais à demi-conscient et je savais que si je continuais, j’allais l’achever. Ma main plaquée sur son dos vint l’agripper aux cheveux, et je lui tirais brusquement la tête sur le coté pour que sa gorge quitte mes lèvres. Je retirais mon autre bras pour le laisser respirer, mais lui maintenant toujours la tête par les cheveux. Plusieurs fois, ma langue se passa sur mes lèvres et je restais un long moment immobile afin de calmer ma respiration et toute la jouissance qui coulait en moi. J’avais des fourmis dans les canines, et je savais qu’elles en redemandaient. Je serrais alors la mâchoire pour me retenir, me félicitant intérieurement pour avoir réussi à arrêter. Le visage d’Aaron avait blanchi, et un rictus mauvais ressemblant à un sourire peignit mes lèvres. Je n’avais aucune compassion pour cette bête. Au contraire même, le voir souffrir m’amusait comme j’aimais voir souffrir les gens. Je lui lâchais brusquement la tête, puis posait mes deux mains sur ses épaules blessées pour me relever. Une fois debout, j’avais l’impression de voir les choses au ralenti. Comme si je venais de me piquer d’une drogue ayant pour but d’améliorer toutes mes facultés. Je pris une grande bouffée d’air, j’avais envie de courir, de tuer… de tuer encore… Le sang de ce lycan m’avait offert une énergie incroyable alors que lui gisait sur le sol à moitié inconscient. J’arrivais à résister à l’odeur de son sang, maintenant que j’avais réussi à me décrocher. Mon estomac m’indiquait que j’étais repu, peut-être même un peu trop… J’avais bu trop de sang. Le sang des loups-garous était trois fois plus nourrissant que celui d’un humain, je savais que j’allais en vomir dans les jours qui allaient suivre car c’était toujours ainsi lorsque j’en buvais trop. Le sang des lycans était l’effet de sirop dans l’alcool. On ne ressentait plus ce dernier, mais on finissait par se rendre compte des effets dévastateurs une fois qu’on a reposé le verre. Je baissais les yeux sur la créature pitoyable à mes pieds. Je pris son manteau sur le coté et je le jetais plus loin pour qu’il ne puisse pas s’en vêtir. Qu’il meurt de froid, cela m’importait peu. Je levais le pied et l’écrasait violemment sur son dos, l’écrasant avec force et sadisme en le scrutant du regard. Je l’avais vaincu, mais je n’en éprouvais aucune fierté. Finalement, je retournais auprès du premier loup-garou mort et lui enleva ses liens. Je revins vers Aaron avec la corde et je le soulevais de force pour l’assoir contre un obélisque. Là, je pris ses mains pour les enrouler dans son dos autour de cet obélisque, et je les y attachais. Je revins ensuite face à lui, je m’abaissais et je lui pris le menton dans les mains pour le forcer à croiser mon regard.

« Regarde moi. Regarde moi ! » - Je donnais un coup de poing dans sa poitrine pour être sûr qu’il m’obéisse, puis je le fixais longuement avant d’ajouter – « Tu ne mérite pas de vivre. Ta famille mourra après toi. C’est le prix à payer pour votre stupide rébellion, et j’espère que si tu survis, tu t’en souviendras… Tes frères et toi ne seront jamais en sécurité. »
Je le lâchais. Je n’étais normalement pas aussi bavard mais Alice voulait que je leur fasse peur. Et je savais que si la violence physique ne les effrayait pas tant, le menacer de s’en prendre à ses frères aurait beaucoup plus d’effet. Je me relevais, avant de lui donner un méchant coup de pied dans l’estomac. Puis je fit demi tour avant de partir pour de bon, revigoré, plus en forme que jamais et le laissant avec aucune chance de s’en sortir si quelqu’un ne venait pas le sauver.


[Je quitte, Tchô !]
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé

♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣



C'est la mort, qui t'attend.  Vide
MessageSujet: Re: C'est la mort, qui t'attend.    C'est la mort, qui t'attend.  Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

C'est la mort, qui t'attend.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
La cité des Aurores :: Rheyjall :: Alavan district :: Cimetière-